Un exemple de RP papier : l'arrivée de Jaina

Voici une autre forme de RP. Pour une fois qu'on peut jouer sur le thème guild wars, ne me privez pas de cette joie xD. Et puis c'est comme ça que tout commence, en fait, en se faisant la main sur du papier ^^.

Une ombre, capée, la capuche rabattue sur le visage. Elle monte un destrier alezan, un cheval de guerre, qui lui avait coûté la peau des fesses. Elle avait mis des mois à économiser avant d'en faire l'acquisition. Son épée était suspendue à son côté droit. Et oui, particularité de cette ombre, elle était gauchère.

Les gens chuchotent sur son passage. On la monte du doigt, mais sans lui manquer de respect. Elle inspirait la crainte. Et non la haine. Sans doute son aura protectrice.

Les sabots de son cheval glissent sur les pavés. La voilà arrivée.

Elle relève alors la tête et laisse son visage se baigner de lumière. Elle rejette sur ses épaules sa capuche et laisse les rênes de sa bride à son cheval. Il étend alors l'encolure en soupirant.

Elle s'appelait Jaina d'Arcy. Sur ses épaules était serrée une cape blanche aux étranges motifs rouges. Elle marquait son appartenance : elle était une fantôme. Elle était un peu déchirée, un peu tâchée de sang, le sien ou celui d'autres créatures, elle ne savait pas trop. Oui, elle n'était plus blanche immaculée, comme lorsque Zekk, son ancien maître, lui avait donné. Non, elle avait viré rose pâle, à cause des nombreuses fois où elle l'avait lavée, dans l'eau claire d'une rivière, profitant d'un break dans son trekk.

Elle arrêta son cheval devant une auberge. Un garçon d'écurie en sortit. Elle lui confia son destrier.

- Prenez en soin...

Il hocha la tête et partit avec le cheval. Elle soupira, secoua ses cheveux collés par la poussière. Elle était fatiguée de son voyage. En chemin elle avait été attaquée, inlassablement, par des corsaires, des créatures de toute sortes... Mais pourtant, elle n'avait pas baissé les bras.

Son chef, Luffy D. Monkey, lui avait assigné un job particulier. Elle était devenue capitaine de l'avant-garde fantôme, une étrange sub division de la brigade. Ils étaient les yeux et la première barrière contre le mal. Tandis que la brigade était le corps armé, la puissance et la main de Balthazard.

Elle occupait ce poste avec sa compagne, son épouse. Krystehal Kael Thas. La rejoindrait-elle dans cet avant-poste? Elle ne savait pas. On lui avait dit de venir là. Elle avait prit sa tunique de nuit et s'était ramenée là. Paf. Après, le destin écrirait la suite.

Elle entra dans l'auberge. Tranquillement. Et se posta dans un coin. Elle sortit une feuille de papier fin de Kamadan et roula du tabac, l'air absent. Elle l'alluma avec une bougie. Oui on avait pas encore inventé le sort de boule de feu portatif...

Elle s'appuya contre la cheminée de pierre, les yeux dans le vague.

Ses pensées se tournèrent vers sa femme...

- Kry...

Elle soupira. Baissa la tête. Se laissa aller dans une vague de somnolence agitée.

Et moi je suis...

A pieds comme toujours... Toujours ou presque... Je parcourais les terres et arrivais enfin à ma destination. De blanc vetue avec quelques nuances de rouges. Classe, mais non discret. Mes cheveux argentés etincellent à la lueur de la lune cruelle. Certains l'appellent Sélénée... Je me contenterais du mot Lune... Lueurs de la Lune, assonance en L.. Je me perds en divagations litteraires... rethoriques...

Qu'importe.

Je marche.

J'ai atteins mon but.

Une auberge lambda, dans un avant poste lambda... Partout des paysans... Quelques nobles. Ils ne me jugent pas. J'ai le port altier, je les regarde... Depitée... Je suis peut être orpheline... Abandonée... J'ai vendu mes services pour un peu de culture... Mais j'ai gardé de mes années certaines connaissances, et un certain prestige.. Pourtant. Je n'ai pas ce regard hautain que les nobles ont parfois. Enfin je m'egare.

Je suis en mission pour l'avant-garde fantome. Cette division des Brigades de Luffy D.Monkey que nous dirigeons Jaina et moi. Jaina D'Arcy. Mon epouse...

En pensant à elle un sourire eclaire mon visage ... et malgré la pale clartée de la lune mysterieuse, et l'eclairage quasi inexistant de l'avant poste... je sais qu'on peut le voir.

VRaiment, je dois avoir l'air ravi, l'air amoureux. Oui probablement. Ca doit être cela...

Pathetique pantin imbibé d'amour... Oh non...

Voila encore cette voix dans ma tete... Oh elle n'est pas omnipresente... Alors qu'importe n'est ce pas.

Je m'egare...

Me voila dans l'auberge... Mes vetements blancs n'etincellent plus trop... La poussiere de la route ... La fatigue... Je hausse les epaules et me dirige au comptoir... Attrapant une chope de biere contre quelques pieces d'or que je lance negligement...

Une silhouette assise ne m'est pas inconnue... Je souris interieurement et m'affaisse sur la chaise en face d'elle.

- Salutations ô epouse.

Elle était en train de sombrer. Comme elle avait failli s'effondrer de fatigue sur le sol, et que ça marquait super mal, elle se força à s'asseoir à la première table venue.

Elle tombe dans des rêves étranges, des rémininscences de son passé, son village qui brûle...

Une larme silencieuse. Elle se réveille, se force à le faire, serrant les poings.

Elle emmerge. Sa première vision fut celle de sa femme. Elle se crut encore dans les limbes du sommeil. Mais quand elle entendit sa voix, sa voix merveilleuse, pure, elle sut que c'était la réalité.

- Kry?

Elle avait la bouche pateuse. Endormie. Elle cligna des yeux.

Elle se redressa, passa une main dans ses cheveux décoiffés.

- Depuis quand tu es arrivée?

Oui, elle venait de se taper la honte en dormant la bouche ouverte sur un choppe de biere de nain, comme une vieille alcoolo... Ca le faisait pas...

Elle jeta un coup d'oeil circulaire. Il n'y avait pas eu beaucoup de mouvements de cliens. Elle supputait donc qu'elle ne s'étiat pas endormi longtemps.

- Tu es venue à pied?

Oui, la connaissant, oui, elle était venue à pied, d'Elona... Courageuse épouse qu'elle avait là.

Ca faisait longtemps qu'elle ne l'avait pas vue. De nombreuses missions qui les avaient éloignées... Trop longtemps. SOn coeur se serra.

Elle se lève, prend sa main douce et déposa une baiser dessus.

- Tu m'as manquée, Kry...

- Salutations ô epouse...

Elle ne me repondit pas. Sa tête etait posée, avachie... affalée... sur sa choppe de biere... Spectacle pathetique dans le quel je n'aimais pas la voir. Non, mon epouse n'est pas de ces alcooliques fatigués, pas du tout. Mais le poids des missions lui pese et sa vie n'est pas des plus aisées.

Enfin je m'egare.

Lentement, elle ouvre ses doux yeux. Ils sont tellement beaux.

Ouuuah...

D'un regard. Je sais que son sommeil fut agité. Je ne peux pas faire grand chose.

Elle me sourit, prononce mon doux nom et me baise la main.

Je lui souris.

Sourire merveilleux que le sien... Sourire amoureux que le mien.

- Je viens d'arriver... L'auberge etait bondée, et tu etais de loin la compagne la plus agréable que je puisse souhaiter.

Tentative d'humour à 2 golds...

Hum...

- A pieds oui ...

Mes jambes etaient douloureux, mais mes muscles les rendaient d'autant plus attirantes... J'avais une bonne endurance... Et surtout... Ma maladresse... enfin non, je...

Bref.

Ma femme etait la, en face de moi. Ravissante vision.

Delicatement je pose ma main sur son visage, lui caresse la joue et m'y attarde.

- Tu m'as manquée toi aussi J .

Je me perds dans mes reflexions l'espace d'un instant . Nous avons eté separées depuis si longtemps. Mon coeur me dicte de l'embrasser la tout de suite. Mais ma raison prend le dessus .

Je calme mes ardeurs.

HumpF.

- Alors... Qu'est il arrivé de nouveau à la belle Jaina d'Arcy ... Kael Thas. ?

Mais l’arrivé d’un homme les coupa dans leur discutions elles regardèrent vers l’entrée de l’auberge, tous les regards et les discutions c’était arrêté, on osait même plus chuchoter. Effectivement un homme entra dans la taverne, un homme vêtu d’une armure de guerrier de couleur rouge que l’on distingua à peine sous sa grande cape noir.

Il entra dans l’auberge retira sa cape et tout le monde vu cette homme qui jusque que là avait l’allure d'un guerrier n’était qu’un simple nécromant, ce n'est pas pour autant que les discutions reprire car il distinguèrent dans son dos une cape blanche avec un étrange signe, la crainte se fit alors sentir et le respect car il savait que cet homme était le célèbre nécromant chef d’une guilde qui agissait dans l’ombre du prince Rurik pour le bien de leur si beau pays.

Les deux femmes se levèrent et le nécromant se dirigea à leur table, elles s'inclinèrent avec respect. Il fit de même, les regarda fixement et senti dans leur regard qu’elles avaient encore effectuer de nombreuses batailles. Ce regard le fit sourire car il savait que leur mission était accomplie, il demanda un painte de bière et s’asseya sur un tabouret et ses deux compagnons firent de même.

-Salutation, fantômes quelles sont les nouvelles?


ps: si vous voulez le supp y a pas de probleme je savai pas trop si je pouvai continuer l histoire ou si on devait en faire une nouvelle vue que vous avez mis exemple de rp.

Le grand chef et les deux dames n'avait pas remarqué sa présence mais l'un des plus fideles officiers de la guilde etait deja accoudé au comptoir de la taverne.
Il s'avanca discretement de la table avec ca pinte a la main chouta un nain au passage (ils font de la bonne biere mais passe toujours entre nos pates). Le mysterieux homme se rapprochait du chef de guilde puis revelat son visage s'agenouillat humblement devant le chef et dis d'une voix solanelle:
- salutations au tout puissant chef
Le chef le fie se relever et l'invita a s'asseoir a la table
Il pris un tabouret et commenca a ecouter l'histoire des deux jeunes femmes

Un jour avant à Kamadan...

Il fait chaud, environ une quarantaine de degré à l'ombre. Malgré cette chaleur intense Raist Nemiss ne semble pas en souffrir. Au contraire, il déguste un kebab bien chargé en viande de drake tout en bronzant sous le soleil qui est à son zenith !

Après un rot long et sonore qui amusa tous les enfants qui jouaient sur la petite place, Il décida d'aller se désaltérer à la taverne du coin. Il entra et commanda un thé à la menthe. Le moine s'assit seul à une table se trouvant à coté d'une fenêtre. Il put ainsi regarder les enfants faisant des farces aux passants pressés. Un petit sourire se dessina sur son visage. Le serveur arriva en lui disant :
- Voici votre thé, monsieur le moine !
Le sourire s'effaça aussitôt pour laisser place à un air supris !
- Le Moine ? Il n'y a pas de Le Moine ici ! Mon nom c'est Raist Nemiss et je suis le seul moine lanceur de boule de feu !
- Pardonner moi monsieur Nemiss. Voici vôtre thé !, répondit-il tout en posant le thé sur la table.

Une dizaine de minutes plus tard, il demanda l'addition. Le serveur arriva aussi tôt avec un large sourire. Raist mit alors ses mains dans les poche en quête de monnaie, mais bizzarement il ne trouva que du vide ! Alors il regarda dehors, là où il s'était assis pour manger et vit une troupe d'enfants heureux, ramassant son butin qui s'était fait la malle. En colère, il se leva d'un coup et courra en direction de la place tout en criant :

- Au voleur ! Au voleur ! Arretez ces gamins ! Cria le moine plus en colère que jamais. Les gens ne comprenant rien à la situation ne bougèrent pas d'un poil, alors que les enfants courraient dans toutes les directions tout en rigolant de la situation. Pendant ce temps, le patron de la taverne sortit à son tour. Entouré de quatre malabars il avait qu'un seul objectif: ratrapper le moine et lui faire payé son thé ! La capture du moine ne fut pas difficile car celui-ci courant dans tout les sens il n'avait pas beaucoup bougé de sa position initial. Deux hommes du patron soulevèrent le moine par les aisselles. Ce dernier tout affolé dit :
- Bonjour messieurs, je ne sens plus le sol sous mes pieds et vous ?
- Tait-toi ! beugla le tavernier, apportez le à l'arrière de la taverne.
- Quel fait marrant, J'arrive à me déplacer rien qu'avec la pensée. dit-il en ignorant ce qu'avait dit l'homme avant.
Peu de gens fréquentais la ruelle derrière la taverne car tout le monde y jetaient leurs déchets ceci rendait l'endroit interressant pour le réglement de compte.
- Dites monsieur. en se tournant vers l'homme qui le portait à sa droite, Vous vous êtes lavé les dents ce matin ?! En croyant que la puanteur de la ruelle émanait de la bouche de l'homme.
- Faites le taire bon sang !
Alors un coup partit et tout fut noir,pour Raist Nemiss.